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Autour de l'eau
Lot de 32 cartes postales de l'aqueduc Médicis A l'occasion du 400e anniversaire de l'aqueduc Médicis, l'OCRA a édité des cartes postales, présentant les vues exterieures et intérieures des regards encore existants, ainsi que de certains types de galeries. |
L'aqueduc Médicis L'année 2013 verra le 400e anniversaire de l'aqueduc Médicis construit sur ordre de Catherine de Médicis afin d'amener à Paris les eaux de sources captées à Rungis et aux alentours. Sur le trajet de l'aqueduc, il reste aujourd'hui vingt-quatre regards en pierres de taille qui disposent tous d'un bassin de décantation, d'ouvertures d'aération (prenant parfois l'aspect d'une lanterne) et d'escaliers rejoignant la surface. L'eau de l'aqueduc arrivait à Paris dans le regard XXVII, ou "maison du Fontainier". La bâtisse est d'abord utilisée pour loger les fontainiers et répartir l'eau entre le roi, le peuple et l'entrepreneur. Elle permet ensuite de stocker l'eau qui, à partir de là, alimente douze fontaines publiques rive gauche et deux fontaines rive droite. Compte tenu de l'intérêt historique de ce patrimoine et de son caractère régional, la Région Ile-de-France a décidé de participer à ce projet de publication et de l'accueillir dans la collection "Parcours du patrimoine". |
L'Aqueduc Medicis Explorateur des dessous franciliens, Philippe Laporte a enfilé ses bottes et ses gants, chargé son sac à dos, pour un voyage souterrain dans les entrailles de l'aqueduc Médicis. Hormis la portion qui enjambe la vallée de la Bièvre, à Arcueil-Cachan, par le pont-aqueduc du XVIIème siècle, cet élément monumental des Sources du Sud de Paris est inconnu par nature et résiste à 400 ans d'histoire officielle. Les dessous en sont ici dévoilés, avec les passions et les appétits réprimés par les tenants de l'ordre royal, impérial ou républicain. Au fil des 13 kilomètres de cette galerie de reine, depuis Rungis jusqu'au palais du Luxembourg, l'auteur tire le lecteur vers de sombres souterrains, fantômes ou désaffectés, le retient au bord d'excavations apocalyptiques et le pousse vers d'étranges cavités. Une visite étendue dans les méandres de la capitale où l'admirable architecture des consolidations de ce joyau souterrain dévoile une profusion d'inscriptions. Cet hommage écrit au plus long monument souterrain de France est un moment d'errance qui invite à la découverte d'une identité. Le volume traite aussi de la récente et tumultueuse affaire des aqueducs (gallo-romain et Médicis) dans la Z.A.C Alésia-Montsouris. Il présente également le "cours de l'aqueduc", magnifique galerie de consolidation du XVIIIème siècle, intégrée au réseau des carrières de Paris. |
1613 - 2013 - Sous nos pieds : "Le Médicis", un monument pour l'eau Catalogue de l'exposition des 400 ans de l'aqueduc. |
Paris de fontaine en fontaine Si, au fil du temps, les fontaines de Paris ont perdu leur fonction première d'alimentation en eau, elles ont conservé intacte leur valeur décorative. Monumentales ou modestes, baroques ou contemporaines, ces constructions sont de toutes les époques et participent au charme de la ville. Souvent reconstruites, parfois déplacées, elles délaissèrent au Second Empire les places et les rues pour prendre leur aise à l'intérieur des jardins publics. Leur histoire, au-delà de l'anecdote, nous dit aussi beaucoup de la " Grande histoire " et de celle de la capitale. Cet ouvrage, classé par arrondissement et abondamment illustré, répertorie plus de 150 fontaines parisiennes, autant de haltes possibles pour le flâneur en quête de pauses rafraîchissantes au coeur de l'agitation urbaine. |
Sur les traces de la Bièvre parisienne Depuis 1912, la Bièvre a totalement cessé de couler à ciel ouvert dans Paris, victime des siècles de mauvais traitements que ses riverains - teinturiers, tanneurs, meuniers, industriels... - lui ont infligés. Pour autant, la rivière n'a jamais cessé d'enfiévrer les imaginations au point qu'on évoque aujourd'hui sa restitution partielle dans la capitale. L'histoire de la Bièvre est haute en couleur mais ses tracés anciens se fondent, estompés à l'extrême, dans le paysage urbain. Il faut une minutie d'archéologue pour découvrir les vestiges (murs de séparation, tracé des rues, anciens quais...) de la rivière disparue et, avec eux, avec elle, l'ambiance d'un Paris qui n'est plus. |
Les veilleurs de l'eau À l'occasion des vingt ans d'Eau de Paris, cet ouvrage illustré propose un voyage sur la route de l'eau, parcours topographique et temporel, de l'amont à l'aval, des espcaces de captage au coeur de Paris. Bien que l'eau s'écoule en abondance chaque jour et à chaque minute à notre robinet, son approvisionnement est un processus long et délicat. Ce sont ces étapes de production d'eau potable, mécaniques ou hautement technologiques, que ce livre propose de faire découvrir. |
Autour des carrières et souterrains
Catacombes et carrières de Paris Qui n'a pas rêvé un jour de découvrir un univers secret et oublié? Explorateur de ce monde souterrain méconnu que sont les anciennes carrières de Paris, le docteur René Suttel nous invite à l'invocation historique et anecdotique des entrailles de la capitale. Accompagné de son ami Jean Talairach, il parcourt cet immense dédale minéral, rassemblant d'importants renseignements et dressant un plan détaillé des lieux. L'auteur met en corrélation le sous-sol et la surface, assurant ainsi au lecteur l'indispensable attrait lié à une étude approfondie et vivante. |
Atlas du Paris souterrain : la doublure sombre de la ville lumière Le Paris souterrain court sur des centaines de kilomètres. Sans lui, pas de vie, pas de ville. Galeries de carrières, cryptes médiévales, catacombes, égouts haussmanniens, métro et autres ouvrages ferroviaires, abris de Défense passive, galeries techniques diverses...le monde mystérieux du sous-sol garde la mémoire de l'histoire tout en jouant les coulisses de la Ville lumière dont il abrite, dans l'ombre, la complexe machinerie. A la différence de la ville en surface qui a pu, à différentes reprises, céder aux tentations de la table rase, la ville souterraine ne saurait supprimer sans conséquences un étage de son histoire ; elle doit s'accepter comme un système global dont l'équilibre repose sur l'acceptation des héritages du passé. Ce n'est pas la moindre séduction de cette cité enfouie dont l'appel résonne comme une invitation à descendre l'escalier sans fin de tous les Paris. |
Paris souterrain Depuis le Moyen Âge, le sous-sol a été exploité pour en extraire le calcaire et le gypse nécessaires à la construction de Paris. Il reste des anciennes carrières près de 300 kilomètres de galeries soigneusement consolidées, essentiellement rive gauche. D'autres toiles souterraines, à commencer par celles des égouts et du métro, s'ajoutent à ce réseau pour composer avec les circuits de distribution du gaz, de l'électricité, du téléphone… une doublure secrète de la capitale. |
Abris souterrains de Paris Sous Paris demeurent les abris. Plus précisément ceux que la Défense passive décréta à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Plusieurs milliers, dont quelques centaines étaient équipés pour répondre à l'éventualité d'une attaque au gaz, furent ainsi aménagés dans les caves des immeubles, dans le métro ou même dans les anciennes carrières. Beaucoup ne furent pas démantelés. On en voit les traces dans de nombreuses caves et des structures plus importantes peuplent encore les espaces verts ou les sous-sols d'administrations et d'entreprises. Bien oubliés aujourd'hui, les abris souterrains restent les témoins d'heures sombres de l'histoire comme de plus glorieuses, puisque c'est depuis les profondeurs de Denfert-Rochereau qu'a été coordonnée l'insurrection libératrice d'août 1944. Une plongée fascinante dans un Paris méconnu... |
20000 lieux sous Paris Explorateur des sous-sols parisiens depuis près de 10 ans, Basile Cenet nous emmène découvrir les lieux souterrains les plus inattendus de la capitale à travers le récit de ses aventures rocambolesques et 100 % authentiques ! Une visite inédite de Paris et de ses trésors cachés en compagnie d'un surprenant aventurier urbain. |
Qu'y a-t'il sous Paris ? Des escaliers, l'entrée d'un tunnel, une bouche d'égout : voilà les signes extérieurs d'un monde riche, vaste et vital pour la ville, le Paris souterrain. Car sous nos pieds, Paris s'enfonce profondément dans la terre, formant un réseau complexe de caves, d'égouts, de cryptes somptueuses, de tunnels ferroviaires, de parkings, de sombres carrières, de galeries commerçantes, de ruines, de salles de spectacle ou de catacombes. Une ville souterraine très secrète. |
Catacombes de Paris - Promenade interdite Pendant 2000 ans, Paris a été construit avec la pierre extraite de son sous-sol. Ses anciennes carrières, longtemps méconnues, se sont rappelées au souvenir de ses habitants par des effondrements dramatiques. Un gigantesque chantier de plus d'un siècle fut entrepris pour les consolider. Le dédale résultant de ces travaux, appelé catacombes après que les ossements des cimetières de la capitale y furent déversés, est aujourd'hui assidument fréquenté par les cataphiles, malgré l'interdiction formelle d'y circuler. Cette communauté, secrète et mystérieuse, méconnue et incomprise, a toujours fait l'objet de beaucoup de fantasmes, et bien des légendes courent à son sujet. Ce livre va vous faire découvrir un monde fascinant et enchanteur. Vous ne marcherez plus dans les rues de la Capitale de la même façon. Cet ouvrage nous invite à un voyage extraordinaire dans un univers méconnu, qui inquiète et fascine les citoyens. |
Lithique n°4 - Pierre de Paris Numéro consacré à la pierre de Paris. Les articles rédigés par différents auteurs traitent de la géologie du bassin parisien, des techniques d'extraction des pierres dans les carrières, de la génèse de l'IGC, de l'aménagement des Catacombes, du réservoir Montsouris et même des dessous de l'affaire du collier (Blake et Mortimer). 41 photos noir et blanc, 29 plans, schémas et illustrations, 156 pages. |
Les villes souterraines de Cappadoce La première étude de synthèse sur les gigantesques souterrains creusés il y a 5 à 12 siècles par les paysans cappadociens, en Turquie, pour échapper aux bandes de pillards qui ravageaient le pays. Une première partie est consacrée à la description de cinq villes souterraines et une deuxième partie procède à l'analyse de leurs aménagements. |
Souterrains et Carrières d'Annet-sur-Marne Les investigations des deux auteurs dans les carrières de gypse de Seine-et-Marne. Histoire locale de la production du plâtre et description détaillée de plusieurs carrières de la région. 95 photos noir et blanc, 18 plans et illustrations, 158 pages. |
Autres curiosités de Paris
Découvertes insolites autour de Paris Curiosités, bizarreries, jardins secrets, legs intrigants du temps et de l'histoire… les environs de Paris réservent bien des surprises. |
Curiosités de Paris Et si la ville n'était qu'un vaste cabinet de curiosités ? Une collection de petits riens intrigants, de plaques désuètes, d'objets incongrus, de graffitis d'un autre âge, d'enseignes révolues, de conformations bizarres. dont le sens ou la raison d'être se sont souvent perdus avec le temps. Les butineurs urbains qui font leur miel des petits trésors glanés au fil des rues seront ici à leur affaire, traquant dans les plis et replis de la ville mille et une raretés qui sont autant d'occasions d'explorer autrement l'histoire de Paris. |
Paris graffitis, les marques secrètes de l'Histoire « Voix des sans voix », les graffitis s'épanouissent depuis longtemps sur les murs de Paris. Difficilement discernables, les plus anciens reproduits dans l'ouvrage datent du XVIe siècle. Les inscriptions anciennes parvenues jusqu'à nous doivent généralement le petit miracle de leur longévité au fait d'avoir été cachées. Les recoins peu accessibles, les prisons, les postes de garde ou les carrières offrent les meilleurs gisements. Certains graffitis, bien qu'exposés, ont fini avec le temps par se fondre dans leur support comme de véritables caméléons. Les démonstrations graphiques plus voyantes, comme celles de Mai 68, ont été impitoyablement effacées. La modestie est le prix de la survie ! Tous les graffitis anciens ne font pas nécessairement référence à des événements historiques : beaucoup se résument au tracé d'un patronyme ou à une expression graphique ou plastique. Mais d'autres, comme les graffitis de la Révolution, des journées insurrectionnelles du XIXe siècle, de la Commune, ceux des résistants sous l'Occupation ou ceux des partisans du FLN durant la guerre d'Algérie, sont étroitement liés à des moments où l'histoire s'est emballée. Leur présence nous émeut car ces traces fragiles nous semblent être celle des scripteurs eux-mêmes. |
Paris secret et insolite Une villa palladienne, une tour du xviie siècle, un square d'acclimatation, des rats grignotant une façade, un apothicaire-chocolatier, un ancien cimetière protestant, une enseigne moyenâgeuse, un parchemin gothique, un château ouvrier, une pagode, un portail voyageur, des lampadaires télescopiques, une fausse vierge noire, un chevalier supplicié, un cadran solaire surréaliste, des bas-reliefs à la gloire du Roi-Soleil, un ancien cabinet de lecture, une mystérieuse cariatide, une cloche impériale, un bastion dans un jardin, un immeuble paquebot, une pépinière fin de siècle, des stalactites dans une grotte, une arche au-dessus d'une rivière disparue, ça c'est Paris ! |
Paris détruit Pourquoi démolit-on ? Relativement épargnée par les guerres ou par les incendies, Paris a été affectée en profondeur par les destructions volontaires. C'est d'abord pour des raisons financières qu'on met à bas avant de reconstruire : nombre d'hôtels particuliers sont lotis pour être rentabilisés. La destruction est aussi le fait d'opérations d'urbanisme : alignement de rues existantes ou percement de voies nouvelles, mais aussi éradication des îlots insalubres ou désaffection de certains bâtiments comme les Halles ou les prisons parisiennes. Enfin, on abat parfois pour des raisons symboliques. La démolition de la Bastille est le premier acte de la Révolution, tandis que la Commune détruit sans retenue, de la maison de Thiers aux Tuileries dont les ruines restent longtemps exposées au public. Dressant le sombre bilan des disparitions, à travers notamment une iconographie spectaculaire, l'auteur ne s'en tient pas à une dénonciation convenue du « vandalisme », mais montre l'émergence d'une conscience patrimoniale en évolution constante depuis le XIXe siècle. |